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Lors d'une période à Bruxelles, durant laquelle elle prend notamment des cours de mathématiques avec le mathématicien Samuel König, Émilie du Châtelet travaille sur son nouvel ouvrage.
Les Institutions de physique sont l'œuvre majeure d’Émilie du Châtelet. L'érudite utilise et confronte les points de vue de Descartes, Isaac Newton et Leibniz afin d'enseigner les nouvelles idées en physique à son fils alors âgé de treize ans.
Cette œuvre, parue au printemps de 1741, fut saluée notamment par Maupertuis, mais fut aussi attaquée par le mathématicien, astronome et géophysicien de Mairan, alors secrétaire cartésien de l’Académie des Sciences, ce qui renouvela la « querelle des forces vives » déclenchée en 1686.
Trois ans après sa parution, ce traité est traduit dans plusieurs langues, dont l'italien. En mai 1746, Émilie du Châtelet devient membre associé de l’Académie de Bologne. (wikipédia)
Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75646k/f11.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75646k/f304.item
Voir encore la "Dissertation sur la nature et la propagation du feu".